Lâcheté, résignation et (vrais/faux) bons sentiments : le cocktail de la déliquescence avancée de notre État de droit
Publié le à 0 h 0
La ministre de la Justice, Nicole Belloubet, ne recevra finalement pas la famille d'Adama Traoré après le refus des proches du jeune homme au nom de la séparation des pouvoirs. Comment expliquer un tel cafouillage ? Est-il symptomatique de la déliquescence de notre Etat de droit ?
🔍 Avis & notations
Avis des lecteurs de Zurbains sur Lâcheté, résignation et (vrais/faux) bons sentiments : le cocktail de la déliquescence avancée de notre État de droit :
Aucun avis
Aucun avis
👉 Votre note pour Lâcheté, résignation et (vrais/faux) bons sentiments : le... ? Je note Lâcheté, résignation et (vrais/faux) bons sentiments : le cocktail de la déliquescence avancée de notre État de droit
Un commentaire ? Votre avis, lancement d'un débat ? Question ?
💬 Réagir à cet article Lâcheté, résignation et (...) Publiez votre commentaire ou posez votre question...