"Il faut gagner la supériorité aérienne" : comment l’Armée de l’air se prépare à un conflit de haute intensité

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La menace d’aujourd’hui, c’est l’ennemi jihadiste au Sahel ou en Syrie, ne disposant pas de moyens sophistiqués : elle est qualifiée de "basse intensité". Celle de demain, le combat face à un adversaire de force égale, est de "haute intensité". Et l’Armée de l’air s’y prépare. 

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