Restauration de Notre-Dame de Paris : les 1.200 chênes nécessaires ont été abattus
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1200 chênes d’exception de plus de 200 forêts de nos régions
Des chênes provenant de toute l’Ile de France, notamment de la forêt de Ferrières en Seine et Marne. Estampillés Notre-Dame, ces bois précieux vont sécher quelques années. Mais la restauration de la cathédrale de Notre-Dame de Paris approche. Alors qu’un appel à candidatures a été lancé ce 27 octobre pour les artisans souhaitant travailler sur ce chantier, les 1200 chênes nécessaires à la restauration ont fini d’être abattus.
Une restauration prévue pour 2024
Mais le chemin de ces chênes est encore long avant d’occuper une place centrale dans la cathédrale. Après un passage à la scierie, il faudra les laisser sécher une année complète avant qu’ils ne soient utilisés pour reconstituer à l’identique la flèche de la cathédrale et son ossature.
"C’est un appel à la mobilisation générale, pour les entreprises de toute taille qui ont des compétences en monuments historiques et dans les domaines de la charpente, de la couverture ou de l’échafaudage", explique Jérémie Patrier-Leitus, directeur du mécénat de l’établissement public chargé de la restauration de Notre-Dame. Les dossiers doivent être envoyés avant le 16 novembre. Les travaux de restauration devraient se terminer en 2024.
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